On dit souvent de la jeunesse qu’elle ne s’engage plus, qu’elle se désintéresse de la vie de la cité. On dit des jeunes qu’ils sont une génération sacrifiée, désabusée ou fracassée uniquement tournée sur elle- même. Cette génération est-elle celle du désenchantement ? Mais il faut se méfier des on-dit. Interrogés par l’Institut BVA et la Fondation Jean Jaurès, 6 Français sur 10 se déclare

Une génération désenchantée qui ne demande qu’à s’engager
Dorian Dreuil