Il y a quelques mois, un ami de ma fille a testé sur nous son cours sur le réchauffement climatique et la nécessaire décroissance. Nous l’avons écouté sagement pendant près d’une heure, impressionnés par les « slides » qu’il faisait défiler, l’accélération du phénomène qu’il détaillait, chiffres du GIEC à l’appui, et surtout par la parabole du colibri qui concluait sa démonstration.
