L’entretien Photographique de La Grande Sophie

Isabelle Lortholary et Alexandre Isard

On peut se faire une idée d’elle assez fidèle en l’écoutant chanter Des montagnes de souvenirs ( Vole ma peine/ Dors mon volcan/ Tombent mes peines/ A l’avenir), Les Au Revoir ( On se quitte on s’éloigne/ Rien n’est éternel/ On s’écrit on s’étiole/ Et parfois on s’appelle), ou encore Sauvage ( Laissez moi dans ma bulle/ Le regard fixe tout près des nuages). Sans parler de La vie Moderne, qui donne son titre à ce neuvième album au charme fou et aux riffs pop, folk, rock.  La Grande Sophie – Sophie Huriaux à la ville - ne suit que son cœur et s’autorise à parler du temps qui passe et d’une femme de cinquante ans qui lui ressemble, tiraillée entre l’ancien monde et le nouveau, qu’elle ne comprend pas toujours. Libre et originale, l’auteure et guitariste s’empare de l’anecdotique, sonde son âme, critique, donc, la vie moderne, tellement Vulgaire ; et lâche quelques vérités. « Tu seras balayée, tout comme moi balayée » répète-t-elle dans L’escalier. « Je n’aime pas voir les gens pleurer/ Je pense à mes chagrins » avoue-t-elle plus loin (Voir les gens pleurer). Sous la pochette home made au monochrome bleu (l’ex-étudiante des Beaux-Arts de Marseille a mêlé la vieille technique photographique du Cyanotype à la technologie contemporaine de son téléphone), ce sont douze chansons dont elle a d’abord travaillé les sons dans son studio, planté au-dessus de son appartement à Montreuil. Et c’est là, et sous l’objectif d’Alexandre Isard, qu’elle a répondu à nos questions avec toute l’authenticité et la sensibilité salutaires qui la caractérisent. 

La première fois que vous avez vu une guitare ?

Vous dans votre loge, avant de monter sur scène ? 

La première fois que vous avez écouté Joan Baez ?

Quel genre de relation entre votre iPhone et vous ?

Vous quand vous croisez quelqu'un qui pleure ? 

La grande Sophie, de son vrai nom Sophie Huriaux, chanteuse francaise, chez elle à Montreuil.

Son Actu : La vie moderne, Barclay.

En tournée en France, entre autres dates le 6 avril à Lille, le 12 à Paris ; le 14 juin à Strasbourg ; le 16 à Vittel.  ...

On peut se faire une idée d’elle assez fidèle en l’écoutant chanter Des montagnes de souvenirs ( Vole ma peine/ Dors mon volcan/ Tombent mes peines/ A l’avenir), Les Au Revoir ( On se quitte on s’éloigne/ Rien n’est éternel/ On s’écrit on s’étiole/ Et parfois on s’appelle), ou encore Sauvage ( Laissez moi dans ma bulle/ Le regard fixe tout près des nuages). Sans parler de La vie Moderne, qui donne son titre à ce neuvième album au charme fou et aux riffs pop, folk, rock.  La Grande Sophie – Sophie Huriaux à la ville - ne suit que son cœur et s’autorise à parler du temps qui passe et d’une femme de cinquante ans qui lui ressemble, tiraillée entre l’ancien monde et le nouveau, qu’elle ne comprend pas toujours. Libre et originale, l’auteure et guitariste s’empare de l’anecdotique, sonde son âme, critique, donc, la vie moderne, tellement Vulgaire ; et lâche quelques vérités. « Tu seras balayée, tout comme moi balayée » répète-t-elle dans L’escalier. « Je n’aime pas voir les gens pleurer/ Je pense à mes chagrins » avoue-t-elle plus loin (Voir les gens pleurer). Sous la pochette home made au monochrome bleu (l’ex-étudiante des Beaux-Arts de Marseille a mêlé la vieille technique photographique du Cyanotype à la technologie contemporaine de son téléphone), ce sont douze chansons dont elle a d’abord travaillé les sons dans son studio, planté au-dessus de son appartement à Montreuil. Et c’est là, et sous l’objectif d’Alexandre Isard, qu’elle a répondu à nos questions avec toute l’authenticité et…

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