Jean-Christophe Rufin
Jean-Christophe Rufin
La fête des morts, un oxymore typiquement mexicain… Dans ce pays, la finitude de l’existence, le mystère tragique de la mort sont célébrés dans la joie, la musique et les couleurs. À l’occasion des jours qui leur sont dédiés, ceux que nous nommons « les disparus » prouvent là-bas qu’ils restent bien présents parmi les vivants et cheminent à leur côté. Le monde entier voit dans cette exaltation de la mort un trait fondamental de l’identité mexicaine.
La fête des morts, un oxymore typiquement mexicain… Dans ce pays, la finitude de l’existence, le mystère tragique de la mort sont célébrés dans la joie, la musique et les couleurs. À l’occasion des jours qui leur sont dédiés, ceux que nous nommons « les disparus » prouvent là-bas qu’ils restent bien présents parmi les vivants et cheminent à leur côté. Le monde entier voit dans cette exaltation de la mort un trait fondamental de l’identité mexicaine.
Recueilli par Sophie Rosemont / Photos Alexandre Isard
Bientôt, on la verra dans la série Irma Vep, adaptée du film homonyme d’Olivier Assayas, qui l’avait déjà fait jouer...
François Thomazeau
François Thomazeau
S’il y a une chose dont on peut être à peu près certain à propos de cette élection présidentielle que – malgré tous ses efforts –, Bastille Magazine ne pouvait pas totalement passer sous silence, c’est que le président ou la présidente issue des urnes ne sera plus en fonction en 2036.
S’il y a une chose dont on peut être à peu près certain à propos de cette élection présidentielle que – malgré tous ses efforts –, Bastille Magazine ne pouvait pas totalement passer sous silence, c’est que le président ou la présidente issue des urnes ne sera plus en fonction en 2036.
William Emmanuel
Au cours des six dernières années, la France a vécu sous le régime de l’état d’urgence durant quatre ans. Entre...
Brigitte Benkemoun
Brigitte Benkemoun
Évidemment, j’ai appris à l’école qu’on ne dit pas LES présidentielles mais LA présidentielle. Évidemment, il n’y en a qu’une, une solennelle, une importante, une exigeante, qui engageait le pays pour sept ans et désormais pour cinq.
Évidemment, j’ai appris à l’école qu’on ne dit pas LES présidentielles mais LA présidentielle. Évidemment, il n’y en a qu’une, une solennelle, une importante, une exigeante, qui engageait le pays pour sept ans et désormais pour cinq.