L’entretien photographique : Chilly Gonzales
Recueilli par Sophie Rosemont / Photos Photos Alexandre Isard
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Recueilli par Sophie Rosemont / Photos Photos Alexandre Isard
Un titre co-écrit avec le rappeur Teki Latex avec l’intervention d’Arielle Dombasle ? Impossible n’est pas Chilly Gonzales, qui publie aujourd’hui le single « Wonderfoule ». Le public est sans doute ce que ce showman notoire préfère au monde – après son piano ! – et il va le retrouver cet été en festival, de Fourvière à Arles. Il a même fondé un Gonzovertory formant les jeunes instrumentistes. En attendant son prochain album, on peut (re)lire aussi son livre, Plaisirs (non) coupables. « Quand j’étais enfant, j’imitais Pavarotti en gueulant n’importe quoi approchant de l’italien », y écrit-il, tout en confessant : « Faire de la musique m’a en tout cas tenu à l’écart d’activités moins saines. » Ici, Gonzales montre tout ce qu’on voit lorsqu’il est sur scène : de la passion, de l’humour, de la dérision, et un sens de l’entertainment qui se soustrait pourtant aux compromis. Pour Bastille Magazine, il a répondu à plusieurs questions tournant (forcément !) autour du piano. Avec, en guest-star, le buste de Franz Liszt qui l’accompagne depuis toujours…
En tournée cet été dans toute la France. Infos sur chillygonzales.com
Vous devant votre public, ça donne quoi ?
Chilly Gonzales : Aimez-vous danser ?
Chilly Gonzales : La première fois que vous avez vu un piano ?
Chilly Gonzales : Si vous repensez à votre premier concert ?
Chilly Gonzales : À quoi ressemblez-vous à la fin d’une tournée ?
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