Paranormal Après David Grann en septembre, c’est à une autre fine plume du New Yorker, Sam Knight, de nous offrir une enquête littéraire à couper le souffle, le roman d’une histoire vraie à dormir debout. Le Britannique retrace l’incroyable destinée du Bureau des prémonitions, un groupe d’investigation paranormale, créé par le psychiatre John Baxter suite à la catastrophe minière d’Aberfan en 1966, une unité chargée de récolter les rêves et visions de personnes possédant un don: celui de prédire les […]
Paranormal Après David Grann en septembre, c’est à une autre fine plume du New Yorker, Sam Knight, de nous offrir une enquête littéraire à couper le souffle, le roman d’une histoire vraie à dormir debout. Le Britannique retrace l’incroyable destinée du Bureau des prémonitions, un groupe d’investigation paranormale, créé par le psychiatre John Baxter suite à la catastrophe minière d’Aberfan en 1966, une unité chargée de récolter les rêves et visions de personnes possédant un don: celui de prédire les drames à venir. Moqué, incapable du moindre résultat, le Bureau continue contre vents et marées. Jusqu’au jour où le créateur est dépassé par le pouvoir de sa création. L. D. Le Bureau des prémonitions de Sam Knight, traduit de l’anglais par Paul-Simon Bouffartigue, éd. Sonatine, 256 p., 21 € Firmament Aucune joie ici ne se gâche ni ne s’épuise. La vie là gronde de ses épanchements et de ses embrasements. Le Ciel ouvert, c’est de prime abord l’alliage des poèmes écrits par Nicolas Mathieu sur Instagram, racontant l’amour, l’attente et l’absence. Les trois grands A du cœur passionné. Mais c’est bien plus encore. Dans ce recueil parsemé des dessins couleur incendie d’Aline Zalko, les deux artistes narrent nos existences plurielles, où attendent de se révéler les révoltes et les suffocations. C’est de notre cœur à tous qu’ils parlent. De ce firmament crevé d'où s’écoulent nos rêves inassouvis, nos regrets et nos espoirs secrets. De l’humanité, en somme. H. L. Le Ciel ouvert de Nicolas Mathieu, dessins d’Aline Zalko, éd. Actes Sud, 128 p.,…
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