L’entretien photographique de Corine

Isabelle Lortholary et Alexandre Isard

Nouvel album, nouveau look, nouvelle couleur de cheveux : nouvelle Corine ? À la manière de la femme du rêve familier de Verlaine, ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre et moins « la fille de ta région » comme elle le chantait sur son premier album disco-pop. Plus de quatre ans ont passé depuis Un air de fête. La chanteuse en a profité pour déménager à la campagne, monter son propre label (Gloria Music) et donner naissance à son premier enfant. De son propre aveu, cette maternité l’a profondément changée ; libérant les souvenirs, en particulier celui de sa mère, disparue alors qu’elle n’avait que 19 ans. Une maman à qui elle rend hommage dans le doux amer Mamouchka (voix passée au vocoder) et dans le solaire Les Cigales, sous des arpèges de basse. « Sur cet album, je parle de moi », dit-elle. Le titre est révélateur : R. R comme respirer, renaître, réinventer, résilience. R pour Rognes, le petit village des Bouches-du-Rhône où elle est née. R comme la première lettre du prénom de son fils. R, soit douze chansons anti déprime parmi lesquelles l’électro-pop Bouge Bouge (version féministe de McSolaar, accompagnée de Julien Galner), C’est si beau (hymne à la maternité façon Donna Summer), Paris (accompagnée au piano par Matthieu Chédid) et Premier baiser, ode sexy-funky à l’amour de sa vie. Dans la salle Aquarium de l’hôtel Grand Amour, dans le 10e arrondissement de la capitale, devant l’objectif d’Alexandre Isard, elle répond à nos questions à sa manière pétillante.

 

Corine à la campagne ?

 

Corine chez le coiffeur ?

 

Gloria Gaynor et vous ?

 

Un garçon sur votre chemin ?

 

Corine maman ?

 

R, label Gloria Music, sortie le 24 mars.

Nos remerciements à l’Hôtel Grand Amour, 18 rue de la Fidélité, 75010...

Nouvel album, nouveau look, nouvelle couleur de cheveux : nouvelle Corine ? À la manière de la femme du rêve familier de Verlaine, ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre et moins « la fille de ta région » comme elle le chantait sur son premier album disco-pop. Plus de quatre ans ont passé depuis Un air de fête. La chanteuse en a profité pour déménager à la campagne, monter son propre label (Gloria Music) et donner naissance à son premier enfant. De son propre aveu, cette maternité l’a profondément changée ; libérant les souvenirs, en particulier celui de sa mère, disparue alors qu’elle n’avait que 19 ans. Une maman à qui elle rend hommage dans le doux amer Mamouchka (voix passée au vocoder) et dans le solaire Les Cigales, sous des arpèges de basse. « Sur cet album, je parle de moi », dit-elle. Le titre est révélateur : R. R comme respirer, renaître, réinventer, résilience. R pour Rognes, le petit village des Bouches-du-Rhône où elle est née. R comme la première lettre du prénom de son fils. R, soit douze chansons anti déprime parmi lesquelles l’électro-pop Bouge Bouge (version féministe de McSolaar, accompagnée de Julien Galner), C’est si beau (hymne à la maternité façon Donna Summer), Paris (accompagnée au piano par Matthieu Chédid) et Premier baiser, ode sexy-funky à l’amour de sa vie. Dans la salle Aquarium de l’hôtel Grand Amour, dans le 10e arrondissement de la capitale, devant l’objectif d’Alexandre Isard, elle répond à nos questions à sa manière pétillante.   Corine à la campagne ?   Corine chez le…

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